R.Hasika a reçu une mise à jour, avec un écran LCD de 2*16 caractères, et qui permet d’afficher les informations souhaitées par l’utilisateur. Plus d’infos dans la vidéo ci après.
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Pour mesurer la température, il est possible d’utiliser divers capteurs, tels que le TMP36, le DHT11/DH22, ou encore le DS18B20. C’est à cette dernière sonde que nous nous intéresserons aujourd’hui. Il s’agit d’une sonde numérique (pas besoin de convertisseur analogique-numérique tel que le MCP3008) qui est assez précise (±0.5°C sur la plage -10°C – 85°C), raisonnablement facile à utiliser, et consommant peu. Par rapport à une sonde analogique, c’est un peu plus complexe, puisqu’il faut utiliser le protocole dallas 1-wire, mais nous verrons qu’il y a déjà les outils nécessaires pour exploiter tout cela.
Les capteurs PIR, pour Passive Infrared Sensor (capteur infrarouge passif) permettent de détecter la présence d’humains mobiles dans le champ du capteur (ça ne fonctionne pas avec les zombies!). Ils sont utilisés dans divers systèmes de sécurité et détecteurs de mouvements. On en trouve à bas coût, et ils sont très simples à utiliser. Cet article servira de tutoriel sur l’utilisation d’un capteur PIR avec un Arduino.
Dans le cadre du projet Domochevsky, nous cherchons à implémenter un système d’éclairage intelligent, tel que nous en avons discuté dans ce précédent billet. Nous n’implémenterons pas toutes les fonctionnalités décrites immédiatement, mais nous allons créer une base simple et extensible sur laquelle nous pourrons construire la suite du projet. Nous décrirons ici une version minimale, facile à mettre en oeuvre, mais malgré tout apte à recevoir des ajouts ultérieurs, présentés dans les billets suivants.
A quel point un robot peut il être simple à concevoir? Il y a un moment (en 2013), je me suis demandé à quoi ressemblerait le robot le plus simple que je pourrais fabriquer. Je vous propose de découvrir dans ce billet le résultat.
Aujourd’hui, je vais vous présenter rapidement le circuit de base de mon contrôleur d’aquarium. Pour l’instant, il y a juste un écran LCD, une sonde waterproof immergée dans l’aquarium, et une sonde prenant la température de l’air. Cette base est amenée à évoluer, mais je poste déjà les schémas simples de sorte que si quelqu’un veut juste ces fonctionnalités, elles sont facilement accessibles 🙂
Je mets également le code Arduino pour le schéma. Enfin, tant qu’à faire, je rajoute le fichier source frizing, au cas ou vous vouliez modifier le schema!
Depuis quelques temps, je me suis mis aux aquariums, avec principalement des guppys. Mais je suis devenu fana de crevettes d’aquarium, telles les neocaridina heteropoda , maintenant appelées neocaridina davidi. Dans mon bac à crevettes, j’ai donc diverses crevettes, des micro poissons (rasboras brigitae et corydoras pygmaeus), mais aussi de nombreuses plantes (mousse de java, anubias barteri naine, diverses plantes gazonnantes …).
Pour que tout ce petit monde soit heureux, il faut que l’aquarium respecte certains paramètres, par exemple la lumière, la température, le PH, etc. En magasin spécialisé, on peut trouver du matériel dédié, mais il est souvent cher, et on a peu de possibilités de personnalisation. Par exemple, pour l’éclairage, ce sera des néons, qui peuvent être allumés ou éteints par un interrupteur. Pour la température, on trouve des thermomètres basiques sans possibilité de collecter les données.
Bref, je me dis que je peux faire mieux, moins cher, et plus adapté à mes besoins. Je vous propose donc de suivre avec moi mon projet de contrôleur d’aquarium, qui sera charger de mesurer les paramètres et si possible de les modifier automatiquement, avec toujours une possibilité de contrôle manuel, gérer l’éclairage, voire automatiser certaines tâches comme par exemple la gestion de la lumière ou la compensation de l’eau évaporée.
Dans ce billet, nous poursuivons la construction de notre station météo. Cette fois ci, nous ajouterons la lecture de l’hygrométrie, à savoir le taux d’humidité dans l’air. Pour cela, l’un des composants les moins chers que j’ai pu trouver est le DHT11. Ce composant regroupe à la fois une sonde de température et un capteur d’humidité. Il existe une autre version, le DHT22 qui est plus précise et possède une plus large plage de fonctionnement, mais qui coûte environ le double du prix. Il existe également un capteur portant la référence AM2302, qui est en fait un DHT22 avec des fils au lieu de broches, et une résistance pull-up. Dans tous les cas, le montage présenté ici sera valable pour les trois, et le code similaire.
Aujourd’hui, nous nous pencherons sur l’utilisation d’une sode de température TMP36 sur un Arduino.
Pour le projet de station météo “home made”, il nous faut des capteurs. Nous allons commencer par un capteur très simple, économique, et facile à utiliser avec le TMP36.
En fait, ce capteur est tellement simple, que ce billet risque d’être très court! L’image de gauche donne même toutes les informations nécessaires.
Pour lire ce capteur, il faut une entrée analogique. Sur un Arduino, ce seront les broches A0 à A5. Sur un Raspberry Pi, il faudra utiliser un MCP3008 ou un autre convertisseur analogique vers numérique.
Ce capteur donne la température de -50 à 125°C, et est alimenté via du courant continu entre 2.7V et 5.5V pour une consommation de 0.05mA. Ce n’est donc pas ce capteur qui videra les batteries de votre montage.
Dans la forme que j’ai utilisée, il y a un coté arrondi, et un coté plat. Si le coté plat est vers vous, alors la broche de gauche ira sur le +5V de votre Arduino, ou sur le +3.3V du Raspberry Pi. La broche centrale ira sur votre entrée analogique, par exemple le A0 du Arduino, ou une broche d’entrée du MCP3008 connecté à votre Raspberry Pi. Enfin, la broche de droite sera connectée à la masse (0V) de votre circuit.
Et voila! Le branchement est fini!
Dans le ce billet, nous verrons comment utiliser un capteur de distance infrarouge ou pour mesurer précisément la distance entre le capteur et un objet en face de celui ci. Dans un prochain billet, nous verrons comment réaliser la même chose avec un capteur à ultra-sons.
Une photo-résistance est un composant dont la résistance varie en fonction de l’intensité lumineuse s’appliquant sur sa surface. On peut s’en servir pour détecter s’il fait jour ou nuit, mais aussi, en utilisant une paire de photo résistances, déterminer la direction d’une source lumineuse. Ce composant pourra par exemple servir à orienter un panneau solaire vers le soleil et ainsi maximiser l’énergie reçue… On pourra également s’en servir pour un robot suiveur de ligne, ou pour détecter le mouvement d’un objet qui obstruerait une source lumineuse. Les applications sont très nombreuses, et ce composant est économique et simple à utiliser, alors pourquoi s’en priver?
Ce billet vise à décrire la lecture des valeurs d’une photodiode en utilisant un Raspberry Pi. Nous avons vu comment lire des valeurs analogiques en utilisant une puce MCP3008, et nous utiliserons ce même montage pour lire notre photo résistance. Si vous utilisez un Arduino, c’est encore plus simple, puisqu’il suffira de connecter la broche de lecture à une broche analogique du Arduino, et de remplacer l’alimentation 3.3V par une alimentation 5V sur le schéma.
De nombreux tutoriels sont disponibles pour Arduino, par exemple celui d’Adafruit : Utiliser une photorésistance avec un Arduino.
Voyons maintenant de quoi nous aurons besoin.
Le Raspberry pi est doté des GPIO, capables de servir d’entrées(tuto) ou de sorties(tuto) numériques. On peut donc lire des signaux logiques hauts ou bas (des 0 ou des 1). Il n’est en revanche pas possible de lire directement des valeurs analogiques. Pour cela, il faut utiliser un ADC, pour “Analog to Digital Converter”, ou convertisseur analogique vers numérique en français, dont le Raspberry Pi n’est pas doté. L’objet de ce tutoriel sera justement de connecter une puce, la MCP3008, au Raspberry pi via le bus SPI pour ajouter huit entrées analogiques. A titre d’exemple, nous nous servirons de ces entrées pour pouvoir effectuer la lecture des valeurs d’un capteur simple : le potentiomètre. Il est toujours possible d’accéder à la liste des tutoriels sur le Raspberry pi sur le wiki.
N’hésitez pas à consulter la version wiki de cet article, plus confortable avec des liens supplémentaires.
Après avoir longuement cherché le modèle qui me convenait, j’ai finalement commandé une LaCrosse WS2355. J’ai maintenant reçu mon colis, et je vais vous décrire rapidement les capteurs embarqués, ainsi que son installation, et les petits ajustements que j’ai faits pour certains capteurs.
Le tout est illustré par de nombreuses photos et même des vidéos!