Vous avez un/des raspis sur votre réseau, et vous devez souvent vous connecter en ssh dessus.
La méthode classique c’est de faire ssh pi@ip_raspi
et de taper le mot de passe.
Mais à la longue ça devient lassant; et ça peut être bloquant pour des scripts qui devraient
automatiquement accéder au raspi via SSH sans que vous soyez là pour taper le mot de passe.
La solution : exporter votre clé publique SSH vers le raspi (ou la cible ssh souhaitée, raspi ou pas).
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Étiquette : linux
Ramdrive sur un Raspberry pi : réduisez l’usure de la carte SD!
Qu’est ce qu’un ramdrive?
Un ramdrive est un espace de stockage qui utilise la RAM (mémoire vive) au lieu du disque dur, SSD, mémoire flash ou autre moyen habituel de stockage. La RAM est plus rapide que tous ces supports, mais en cas de coupure de courant ou si on éteint l’ordinateur, les données sont perdues. Donc, à quoi ça sert, un stockage qui oublie à chaque reboot?
Pourquoi utiliser un ramdrive?
La réponse évidente, c’est la vitesse : si vous avez besoin d’accès ultrarapides, ça peut être une solution. Une seconde réponse intéressera les utilisateurs de raspberry pis : éviter d’user la carte SD du système. La mémoire flash s’use à chaque écriture (c’est simplifié, mais c’est l’idée). Un SSD aura des techniques pour répartir l’usure équitablement et donc ça ne rentrera pas réellement en compte. Mais pour une carte SD, il n’y a pas ces algorithmes avancés. Donc quand on écrit tout le temps au même endroit, on finira par “user” la carte, et elle aura des secteurs défectueux. C’est ici qu’intervient le ramdrive. Pour de nombreux projets à base de Raspberry pi, nous utilisons des capteurs, et nous souhaitons stocker les valeurs des capteurs. Du coup, si à chaque mesure on écrit sur la carte SD, elle lâchera bien vite, d’autant plus vite qu’on écrit souvent, par exemple chaque seconde. Dans ce contexte, je vous propose de créer un ramdrive pour pouvoir écrire dessus en continu, sans se soucier de l’usure, et de copier de temps en temps les données vers la carte SD. En stockant les mesures chaque seconde sur le ramdrive, puis en copiant les données toutes les heures, on écrira 3600 fois moins souvent sur la carte SD!
Voyons maintenant comment réaliser cela.
Configuration de l’I2C sur un Raspberry Pi
Nouveau tutoriel : Configuration de l’I2C sur un Raspberry Pi.
Le bus I2C (ou I²C), pour Inter Integrated Circuit, a été développé en 1982 par Philips et permet de connecter divers équipements électroniques entre eux. Il dispose d’un système d’adressage permettant de connecter de nombreux périphériques I2C sur les mêmes câbles, ce qui signifie ici que l’on utilisera un nombre restreint de GPIO, quel que soit le nombre de périphériques I2C installés. Dans le contexte du Raspberry Pi, ce bus est très utile, puisqu’il permet de rajouter diverses fonctionnalités. On trouvera par exemple des puces pour ajouter des GPIO, des horloges temps réel, des capteurs, et bien d’autres composants en I2C. Par défaut, l’I2C n’est pas forcément activé, et nous verrons comment faire cela.
Pour lire la suite du tutoriel, suivez ce lien :
Détection de visage avec OpenCV
OpenCV est une bibliothèque open source (et libre) de “computer vision”. Autrement dit, OpenCV apporte à un ordinateur diverses fonctionnalités permettant de traiter des données vidéo provenant d’une webcam, d’images fixes ou toute autre source, afin de les analyser et de les traiter. On pourra par exemple faire toutes sortes de traitements classiques d’image (saturation, rotation etc), mais également accéder à des fonctionnalités plus avancées telles que la détection de mouvement, ou encore le repérage d’un visage au sein d’un scène. C’est justement cette dernière fonctionnalité qui nous intéressera aujourd’hui. Nous verrons donc comment installer OpenCV, puis compiler et exécuter un programme exemple de détection de visage.
Projet météo : troisième partie – Collecte des données par un ordinateur
Dans la seconde partie de ce projet, je vous ai présenté les capteurs de la station en détail, ainsi que mon installation. Maintenant que toutes les données parviennent à la station de base, nous allons nous intéresser au raccordement de celle ci à un ordinateur, et surtout à la collecte automatisée de ces données depuis une machine sous Linux.
Informatique et sécurité
A chaque news sur une quelconque distribution Linux, ou sur Mac OS, dans les commentaires, on a droit a des remarques telles que Bah si y’a moins de virus, c’est qu’il y a moins de parts de marché, c’est tout… si Linux/Mac Os/xBSD avait autant de parts de marché que windows, y’aurait autant de failles/virus/vers .En savoir plus